Nos contributions scientifiques


NOS CONTRIBUTIONS SCIENTIFIQUES



NOS CONTRIBUTIONS SCIENTIFIQUES



NOS CONTRIBUTIONS SCIENTIFIQUES


ARCHÉOPOLE contribue à des Programmes Collectifs de Recherches (PCR) et des ateliers initiés par les SRA, le CNRS

ou encore les unités de recherche universitaires.

Ces projets associent des archéologues et des chercheurs de différentes institutions.

Les places fortes des Hauts-de-France




Projet collectif de recherche (2018-2022), DRAC - Service Régional de l’Archéologie des Hauts-de-France, IRHiS - Institut de recherches historiques du Septentrion
Dir. Th. Byhet, Gestionnaire de la carte archéologique nationale, chargé du département du Pas-de-Calais (Responsable scientifique) ; Y. Roumegoux, Conservateur en chef du patrimoine, chargé de l'arrondissement de Lille - Nord (Co-responsable scientifique) ; Cl. Pichard, Ingénieure d'études, chargée du département de l'Aisne et de la carte archéologique nationale (Co-responsable scientifique), DRAC - Service Régional de l’Archéologie des Hauts-de-France.

 

Les principales orientations de ce PCR sont la mise en place d’un corpus des sites emblématiques ou caractéristiques de la région par grandes catégories, l’édition des textes et documents iconographiques (plans, cartes, vues...) utiles à l’étude des places fortes, la constitution d’une bibliographie de références : thématiques, sites, possiblement à mettre en ligne, l’élaboration et la publication d’une synthèse régionale thématique et possiblement d’un colloque à portée plus large ou plus spécifique que les journées d’études.

 

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Les places fortes des Hauts-de-France




Projet collectif de recherche (2018-2022), DRAC - Service Régional de l’Archéologie des Hauts-de-France, IRHiS - Institut de recherches historiques du Septentrion
Dir. Th. Byhet, Gestionnaire de la carte archéologique nationale, chargé du département du Pas-de-Calais (Responsable scientifique) ; Y. Roumegoux, Conservateur en chef du patrimoine, chargé de l'arrondissement de Lille - Nord (Co-responsable scientifique) ; Cl. Pichard, Ingénieure d'études, chargée du département de l'Aisne et de la carte archéologique nationale (Co-responsable scientifique), DRAC - Service Régional de l’Archéologie des Hauts-de-France.

 

Les principales orientations de ce PCR sont la mise en place d’un corpus des sites emblématiques ou caractéristiques de la région par grandes catégories, l’édition des textes et documents iconographiques (plans, cartes, vues...) utiles à l’étude des places fortes, la constitution d’une bibliographie de références : thématiques, sites, possiblement à mettre en ligne, l’élaboration et la publication d’une synthèse régionale thématique et possiblement d’un colloque à portée plus large ou plus spécifique que les journées d’études.

 

Participation : Delphine Cense


Cimetières mérovingiens

Atelier (depuis 2013), Halma - UMR 8164 (CNRS, ULille, MC) Université de Lille, Villeneuve d'Ascq (59).

Dir. init. V. Motte - Ingénieure d'études, DRAC - Service Régional de l'Archéologie des Hauts-de-France. Coord. C. Deflorenne (Inrap), L. Gubellini (Archéopole), G. Lassaunière (Service archéologique de Seclin), Th. Legrand (Archéopole).

 

L’atelier « Cimetières mérovingiens » a pour but de travailler de manière inter-structurelle afin de confronter les résultats de la fouille de quatre nécropoles mérovingiennes mises au jour récemment sur l'arrondissement lillois : Marquette (Laurent Gubellini, Archéopole), Lesquin (Carole Deflorenne, Inrap), Houplin-Ancoisne (Guillaume Lassaunière, Centre Archéologique de Seclin) et Toufflers (Thibault Legrand, Archéopole), et de publier une synthèse dans le cadre d’un hors-série de la Revue du Nord en y incorporant des études transversales (céramique, pillage, dotations, architecture funéraire, typochronologie, héritages de l'Antiquité) qui mettront en évidence les disparités et les similitudes des différentes nécropoles en vue de dégager un faciès local.

 

Participation : L. Gubellini



Cimetières mérovingiens

Atelier (depuis 2013), Halma - UMR 8164 (CNRS, ULille, MC) Université de Lille, Villeneuve d'Ascq (59).

Dir. init. V. Motte - Ingénieure d'études, DRAC - Service Régional de l'Archéologie des Hauts-de-France. Coord. C. Deflorenne (Inrap), L. Gubellini (Archéopole), G. Lassaunière (Service archéologique de Seclin), Th. Legrand (Archéopole).

 

L’atelier « Cimetières mérovingiens » a pour but de travailler de manière inter-structurelle afin de confronter les résultats de la fouille de quatre nécropoles mérovingiennes mises au jour récemment sur l'arrondissement lillois : Marquette (Laurent Gubellini, Archéopole), Lesquin (Carole Deflorenne, Inrap), Houplin-Ancoisne (Guillaume Lassaunière, Centre Archéologique de Seclin) et Toufflers (Thibault Legrand, Archéopole), et de publier une synthèse dans le cadre d’un hors-série de la Revue du Nord en y incorporant des études transversales (céramique, pillage, dotations, architecture funéraire, typochronologie, héritages de l'Antiquité) qui mettront en évidence les disparités et les similitudes des différentes nécropoles en vue de dégager un faciès local.

 

Participation : L. Gubellini



L’étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements ?



Projet collectif de recherche (2012), Ministère de la Culture - Service Régional de l’Archéologie de Haute-Normandie
Dir. F. Carré, Ministère de la Culture - Conservateur au Service Régional Archéologique de Haute-Normandie.


Le Projet Collectif de Recherches sur l'Étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements a vu le jour en 2013 sous l'impulsion de Florence Carré (SRA Haute-Normandie). Il a pour objectif de promouvoir en France l'étude des éléments organiques découverts dans les tombes mérovingiennes, ainsi que de définir le protocole de fouille et de prélèvement, en s'appuyant sur l'exemple de la nécropole d'Harfleur, fouillée en 2011-2012 par la société Archéopole. Dans ce but, le PCR associe plusieurs chercheurs que sont Florence Carré, B. Bell de l'atelier Bell chargé de la stabilisation des objets, A. Rast-Eicher spécialiste des restes textiles (Archeotex) et l'équipe de fouille. L’étude minutieuse et systématique de ces matériaux sur les différents objets de la sépulture permettra à la fois de déterminer le port ou le dépôt de ceux-ci dans la tombe et de mettre en évidence les différents costumes funéraires. Les deux premières années ont été consacrées à l'étude du mobilier de quelques sépultures pour lesquelles les premiers résultats sont plus qu'encourageants puisque des restes textiles ont été découverts sur la quasi-totalité des objets étudiés : présence de traces de fourrures (photo), lin, cuir, restes végétaux, armure toile notamment. La dernière année, en 2015, aura pour objectif la sensibilisation des archéologues de la région et des régions voisines, par l’organisation d’une journée de rencontre, présentation du travail et démonstration.


Participation : J. Boisson



L’étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements ?



Projet collectif de recherche (2012), Ministère de la Culture - Service Régional de l’Archéologie de Haute-Normandie
Dir. F. Carré, Ministère de la Culture - Conservateur au Service Régional Archéologique de Haute-Normandie.


Le Projet Collectif de Recherches sur l'Étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements a vu le jour en 2013 sous l'impulsion de Florence Carré (SRA Haute-Normandie). Il a pour objectif de promouvoir en France l'étude des éléments organiques découverts dans les tombes mérovingiennes, ainsi que de définir le protocole de fouille et de prélèvement, en s'appuyant sur l'exemple de la nécropole d'Harfleur, fouillée en 2011-2012 par la société Archéopole. Dans ce but, le PCR associe plusieurs chercheurs que sont Florence Carré, B. Bell de l'atelier Bell chargé de la stabilisation des objets, A. Rast-Eicher spécialiste des restes textiles (Archeotex) et l'équipe de fouille. L’étude minutieuse et systématique de ces matériaux sur les différents objets de la sépulture permettra à la fois de déterminer le port ou le dépôt de ceux-ci dans la tombe et de mettre en évidence les différents costumes funéraires. Les deux premières années ont été consacrées à l'étude du mobilier de quelques sépultures pour lesquelles les premiers résultats sont plus qu'encourageants puisque des restes textiles ont été découverts sur la quasi-totalité des objets étudiés : présence de traces de fourrures (photo), lin, cuir, restes végétaux, armure toile notamment. La dernière année, en 2015, aura pour objectif la sensibilisation des archéologues de la région et des régions voisines, par l’organisation d’une journée de rencontre, présentation du travail et démonstration.


Participation : J. Boisson



Un port du haut Moyen Âge entre Ponthieu et Boulonnais


Projet collectif de recherche (2007-2010), UMR 8164 HALMA-IPEL Lille 3, Ministère de la Culture - Service Régional de l’Archéologie du Nord-Pas-de-Calais, Centre de recherches d’archéologie nationale U.C. Louvain.
Dir. L. Verslype, FRS-FNRS CRAN-UCLouvain et UMR 8164 HALMA-IPEL Lille 3


Initié en 2006, le Projet Collectif de Recherches de Quentovic vise à définir le périmètre du coeur du vicus de la Canche (VIe/Xe s. AD), à en appréhender l’extension des sites corollaires et les composantes structurelles, et à en préciser les caractères encore mal connus. Dans un premier stade, en 2007 et en 2008, il a intégré la dimension environnementale dans une perspective diachronique. C’est la raison pour laquelle les bases d’un dialogue centré sur l’évolution de l’environnement côtier, de l’estuaire, du cours et de la basse vallée sont posées à partir des ressources géologiques, archéologiques et historiques combinées. En 2009 et 2010, l’intégration des données issues des opérations archéologiques préventives menées à La Calotterie par l’Inrap d’une part, et par Archéopole d’autre part, ont été complétées par la double considération de la place des sites côtiers régionaux dans l’espace Manche-Mer du Nord. L’aboutissement de ce croisement de données documentaires en cours d’étude et des problématiques historiques, des sciences de la terre et de l’environnement dont les bases devaient être posées, établit un socle conclusif sur lequel les réflexions et les recherches de terrain pourront être pertinemment développées.


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Un port du haut Moyen Âge entre Ponthieu et Boulonnais


Projet collectif de recherche (2007-2010), UMR 8164 HALMA-IPEL Lille 3, Ministère de la Culture - Service Régional de l’Archéologie du Nord-Pas-de-Calais, Centre de recherches d’archéologie nationale U.C. Louvain.
Dir. L. Verslype, FRS-FNRS CRAN-UCLouvain et UMR 8164 HALMA-IPEL Lille 3


Initié en 2006, le Projet Collectif de Recherches de Quentovic vise à définir le périmètre du coeur du vicus de la Canche (VIe/Xe s. AD), à en appréhender l’extension des sites corollaires et les composantes structurelles, et à en préciser les caractères encore mal connus. Dans un premier stade, en 2007 et en 2008, il a intégré la dimension environnementale dans une perspective diachronique. C’est la raison pour laquelle les bases d’un dialogue centré sur l’évolution de l’environnement côtier, de l’estuaire, du cours et de la basse vallée sont posées à partir des ressources géologiques, archéologiques et historiques combinées. En 2009 et 2010, l’intégration des données issues des opérations archéologiques préventives menées à La Calotterie par l’Inrap d’une part, et par Archéopole d’autre part, ont été complétées par la double considération de la place des sites côtiers régionaux dans l’espace Manche-Mer du Nord. L’aboutissement de ce croisement de données documentaires en cours d’étude et des problématiques historiques, des sciences de la terre et de l’environnement dont les bases devaient être posées, établit un socle conclusif sur lequel les réflexions et les recherches de terrain pourront être pertinemment développées.


Participation : Delphine Cense





ARCHÉOPOLE contribue à des Programmes Collectifs de Recherches (PCR) et des ateliers initiés par les SRA, le CNRS

ou encore les unités de recherche universitaires.

Ces projets associent des archéologues et des chercheurs de différentes institutions.

 

Les places fortes des Hauts-de-France




Projet collectif de recherche (2018-2022), DRAC - Service Régional de l’Archéologie des Hauts-de-France, IRHiS - Institut de recherches historiques du Septentrion
Dir. Th. Byhet, Gestionnaire de la carte archéologique nationale, chargé du département du Pas-de-Calais (Responsable scientifique) ; Y. Roumegoux, Conservateur en chef du patrimoine, chargé de l'arrondissement de Lille - Nord (Co-responsable scientifique) ; Cl. Pichard, Ingénieure d'études, chargée du département de l'Aisne et de la carte archéologique nationale (Co-responsable scientifique), DRAC - Service Régional de l’Archéologie des Hauts-de-France.

 

Les principales orientations de ce PCR sont la mise en place d’un corpus des sites emblématiques ou caractéristiques de la région par grandes catégories, l’édition des textes et documents iconographiques (plans, cartes, vues...) utiles à l’étude des places fortes, la constitution d’une bibliographie de références : thématiques, sites, possiblement à mettre en ligne, l’élaboration et la publication d’une synthèse régionale thématique et possiblement d’un colloque à portée plus large ou plus spécifique que les journées d’études.

 

Participation : Delphine Cense

Cimetières mérovingiens

Atelier (depuis 2013), Halma - UMR 8164 (CNRS, ULille, MC) Université de Lille, Villeneuve d'Ascq (59).

Dir. init. V. Motte - Ingénieure d'études, DRAC - Service Régional de l'Archéologie des Hauts-de-France. Coord. C. Deflorenne (Inrap), L. Gubellini (Archéopole), G. Lassaunière (Service archéologique de Seclin), Th. Legrand (Archéopole).

 

L’atelier « Cimetières mérovingiens » a pour but de travailler de manière inter-structurelle afin de confronter les résultats de la fouille de quatre nécropoles mérovingiennes mises au jour récemment sur l'arrondissement lillois : Marquette (Laurent Gubellini, Archéopole), Lesquin (Carole Deflorenne, Inrap), Houplin-Ancoisne (Guillaume Lassaunière, Centre Archéologique de Seclin) et Toufflers (Thibault Legrand, Archéopole), et de publier une synthèse dans le cadre d’un hors-série de la Revue du Nord en y incorporant des études transversales (céramique, pillage, dotations, architecture funéraire, typochronologie, héritages de l'Antiquité) qui mettront en évidence les disparités et les similitudes des différentes nécropoles en vue de dégager un faciès local.

 

Participation : L. Gubellini



L’étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements ?



Projet collectif de recherche (2012), Ministère de la Culture - Service Régional de l’Archéologie de Haute-Normandie
Dir. F. Carré, Ministère de la Culture - Conservateur au Service Régional Archéologique de Haute-Normandie.

Le Projet Collectif de Recherches sur l'Étude des matériaux organiques dans les tombes du haut Moyen Âge : un apport à la connaissance des pratiques funéraires et des vêtements a vu le jour en 2013 sous l'impulsion de Florence Carré (SRA Haute-Normandie). Il a pour objectif de promouvoir en France l'étude des éléments organiques découverts dans les tombes mérovingiennes, ainsi que de définir le protocole de fouille et de prélèvement, en s'appuyant sur l'exemple de la nécropole d'Harfleur, fouillée en 2011-2012 par la société Archéopole. Dans ce but, le PCR associe plusieurs chercheurs que sont Florence Carré, B. Bell de l'atelier Bell chargé de la stabilisation des objets, A. Rast-Eicher spécialiste des restes textiles (Archeotex) et l'équipe de fouille. L’étude minutieuse et systématique de ces matériaux sur les différents objets de la sépulture permettra à la fois de déterminer le port ou le dépôt de ceux-ci dans la tombe et de mettre en évidence les différents costumes funéraires. Les deux premières années ont été consacrées à l'étude du mobilier de quelques sépultures pour lesquelles les premiers résultats sont plus qu'encourageants puisque des restes textiles ont été découverts sur la quasi-totalité des objets étudiés : présence de traces de fourrures (photo), lin, cuir, restes végétaux, armure toile notamment. La dernière année, en 2015, aura pour objectif la sensibilisation des archéologues de la région et des régions voisines, par l’organisation d’une journée de rencontre, présentation du travail et démonstration.



Participation : J. Boisson



Un port du haut Moyen Âge entre Ponthieu et Boulonnais


Projet collectif de recherche (2007-2010), UMR 8164 HALMA-IPEL Lille 3, Ministère de la Culture - Service Régional de l’Archéologie du Nord-Pas-de-Calais, Centre de recherches d’archéologie nationale U.C. Louvain.
Dir. L. Verslype, FRS-FNRS CRAN-UCLouvain et UMR 8164 HALMA-IPEL Lille 3

Initié en 2006, le Projet Collectif de Recherches de Quentovic vise à définir le périmètre du coeur du vicus de la Canche (VIe/Xe s. AD), à en appréhender l’extension des sites corollaires et les composantes structurelles, et à en préciser les caractères encore mal connus. Dans un premier stade, en 2007 et en 2008, il a intégré la dimension environnementale dans une perspective diachronique. C’est la raison pour laquelle les bases d’un dialogue centré sur l’évolution de l’environnement côtier, de l’estuaire, du cours et de la basse vallée sont posées à partir des ressources géologiques, archéologiques et historiques combinées. En 2009 et 2010, l’intégration des données issues des opérations archéologiques préventives menées à La Calotterie par l’Inrap d’une part, et par Archéopole d’autre part, ont été complétées par la double considération de la place des sites côtiers régionaux dans l’espace Manche-Mer du Nord. L’aboutissement de ce croisement de données documentaires en cours d’étude et des problématiques historiques, des sciences de la terre et de l’environnement dont les bases devaient être posées, établit un socle conclusif sur lequel les réflexions et les recherches de terrain pourront être pertinemment développées.


Participation : Delphine Cense

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